• http://www.laicite-educateurs.org/IMG/cache-224x160/conflit-224x160.gif

    Les conflits, même s'ils sont toujours désagréables, ont ceci d'intéressant qu'ils sont l'occasion d'observer où nous en sommes dans notre évolution.

    Après une colère, combien de temps restons-nous tendus, rancuniers, meurtris,..?

    La capacité à se défaire rapidement des émotions négatives, ne nous indique t-elle pas le degré de dépouillement auquel nous sommes arrivés?

    ...

    http://www.chat-land.org/actu/wp-content/uploads/2012/12/reconciliation-tchat.jpg

     

    Marie-Eve

    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  • http://www.divinatix.com/wp-content/uploads/2014/10/printemps.jpg
     

    Les saisons changent.

    Parfois c'est l'hiver, parfois c'est l'été.

    Si vous restez toujours dans le même climat, vous vous sentirez coincé.

     

    On doit apprendre à aimer ce qui arrive.

    C'est ce que j'appelle la maturité.

    On doit apprendre à aimer ce qui est déjà là.

    L'immaturité consiste à vivre dans les "il faudrait", "on devrait"

    et à ne jamais vivre ce qui est.

    La réalité est ce qui est.

    "On devrait" n'est qu'un rêve.

     

    Quoi qu'il arrive, c'est bien.

    Aimez-le, chérissez-le et détendez-vous.

    Quand parfois l'intensité se manifeste, aimez-la.

    Quand elle s'en va dites-lui adieu. les choses changent...la vie est un flux.

     

    Rien ne reste identique;

    parfois, il y a de grands espaces et parfois, nulle part où aller.

    Mais les deux sont bien.

     

    Les deux sont des cadeaux de l'existence.

    On devrait être reconnaissant, éprouver de la gratitude

    pour tout ce qui arrive.

    Savourez ce qui se passe juste maintenant.

     

    Demain, cela peut changer, alors jouissez-en.

    Après demain, quelque chose d'autre peut arriver.

    Jouissez-en.

    Ne comparez pas le passé à de futiles fantaisies d'avenir.

    Vivez l'instant.

     

    Parfois, il fait très chaud,

    parfois, il fait très froid,

    mais il faut les deux; sinon la vie disparaîtra.

    Elle existe grâce aux polarités.

     

    Extrait du livre d'Osho "Au cœur du présent"

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  •  

    Bonjour à tous! La rentrée est bientôt là! Vous pouvez déjà réserver vos dates! 06 74 23 29 74 ou info@samtosha-yoga.org   A très bientôt!

     

    Ateliers yoga 2022/23 à Bayenghem Les Eperlecques

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  • La  plus grande peur au monde est celle de l'opinion des autres.
    Lorsque vous ne serez plus effrayé par la foule, vous ne serez plus un mouton, vous serez un lion.
    Un grand rugissement surgira de votre cœur, c'est le rugissement de la liberté.

     

    Osho

    La plus grande peur

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • http://aquarelle.dechorgnat.com/wp-content/uploads/2011/01/20110122-Pensees.jpg

     

    Vous n'avez à vous libérer de rien d'autre que de vos pensées !

     

    Les quatre questions à se poser à chaque instant par rapport à toutes nos croyances (sur nous, les autres et le monde)

    A visiter: le site de Byron Katie

     

    Texte d'Arnaud Desjardins:


    « Et si j'essaie de ne plus penser ? Juste d'être, mais d'une conscience absolument pure, pure, qui ne contienne rien d'étranger, absolument libre. Inévitablement la pensée vient faire son commentaire et m'accompagne : "Et voici qu'un grand silence s'établit à l'intérieur de moi..." Je me passerais bien de ce commentaire-là. "Et voici qu'un calme nouveau apparaît dans mon cœur..." Je me passerais bien de cette pensée-là. "Et voici que je suis un peu fatigué, cela gêne ma méditation." Encore un autre type de pensée !


    Considérez la pensée comme une certaine manière de prendre conscience des phénomènes. La libération (état de conscience suprême), en fait, n'est pas incompatible avec les phénomènes. Vous pourriez être parfaitement, totalement libres même s'il y a encore des sensations de malaise, même s'il y a encore une pensée qui passe, même s'il y a encore tout ce qui vous fait dire que vous n'êtes pas libérés. C'est encore une pensée de constater: "Ah, ça y est, ce n'est pas pour aujourd'hui ; ça y est, je ne me sens pas bien - donc c'est contraire à la libération ! Ces pensées-là ne devraient pas venir si j'étais dans l'état suprême." C'est cela qui vous empêche d'être libérés : de penser que ces pensées ne devraient pas venir, de penser que ces sensations ne devraient pas venir, de penser que ces émotions ne devraient pas venir, de penser quoi que ce soit au sujet de la libération. Si vous pouviez vous abstenir du moindre commentaire, si vous pouviez ne plus faire de différence entre libération et non-libération, vous seriez à l'instant même libérés. Et si cette différence ne revenait jamais plus, eh bien cette libération ne serait plus jamais voilée ou recouverte.

    Considérez la libération comme un état - ou plutôt une absence d'état, ou un état au-delà de tous les états - qui est ou n'est pas recouvert. C'est tout. Comme le ciel bleu. Aujourd'hui nous ne voyons pas le ciel bleu, les ombres ne sont pas marquées, le soleil est entièrement caché par les nuages, pourtant nous savons bien que, derrière les nuages, le ciel bleu est là. Les nuages s'écartent un instant, nous voyons le ciel ; les nuages reviennent, nous ne le voyons plus. Mais le ciel bleu est toujours là. Ce qu'on appelle communément un "état de conscience supérieur" ou même un des différents états de "samadhi" reconnus et classés par l'Inde, c'est un moment où les nuages se sont un peu dissipés et où nous avons découvert un peu de ciel bleu - et puis les nuages reviennent et le ciel bleu disparaît. Ou bien les nuages reviennent mais le ciel bleu ne disparaît plus, parce que nous sommes situés à dix mille mètres d'altitude, c'est-à-dire que les nuages sont en dessous de nous, et non plus entre nous et le ciel bleu. Voilà la libération : être situé du côté du ciel et regarder passer les nuages qui ne vous voilent plus ni le ciel, ni la lumière du soleil. Et ces nuages, ce sont uniquement des pensées. Les souffrances sont des pensées, c'est-à-dire des formes de votre conscience. Revenez toujours à ceci. Ces nuages, ce sont uniquement des pensées.


    Vous n'êtes prisonniers de rien d'autre que de vos pensées. Vous n'avez à vous libérer de rien d'autre que de vos pensées. Voilà la vérité. Et vous n'avez pas d'autre problème que celui de vos pensées. Vous n'avez aucun problème, ni avec votre santé, ni avec votre métier, ni avec votre patron, ni avec vos enfants, ni avec votre femme, ni avec votre voisin, ni avec votre propriétaire, ni avec le maire de votre commune. Vous n'avez qu'un seul problème : un problème entre vous et vos pensées... »
     

    Arnaud Desjardins
     

    Note : Pour bien comprendre pourquoi ce sont uniquement vos pensées qui vous font souffrir, et de quelle façon, voir "The Work" ("Le Travail") de Byron Katie, présenté ici

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    4 commentaires