• http://www.laicite-educateurs.org/IMG/cache-224x160/conflit-224x160.gif

    Les conflits, même s'ils sont toujours désagréables, ont ceci d'intéressant qu'ils sont l'occasion d'observer où nous en sommes dans notre évolution.

    Après une colère, combien de temps restons-nous tendus, rancuniers, meurtris,..?

    La capacité à se défaire rapidement des émotions négatives, ne nous indique t-elle pas le degré de dépouillement auquel nous sommes arrivés?

    ...

    http://www.chat-land.org/actu/wp-content/uploads/2012/12/reconciliation-tchat.jpg

     

    Marie-Eve

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    Vous n'avez à vous libérer de rien d'autre que de vos pensées !

     

    Les quatre questions à se poser à chaque instant par rapport à toutes nos croyances (sur nous, les autres et le monde)

    A visiter: le site de Byron Katie

     

    Texte d'Arnaud Desjardins:


    « Et si j'essaie de ne plus penser ? Juste d'être, mais d'une conscience absolument pure, pure, qui ne contienne rien d'étranger, absolument libre. Inévitablement la pensée vient faire son commentaire et m'accompagne : "Et voici qu'un grand silence s'établit à l'intérieur de moi..." Je me passerais bien de ce commentaire-là. "Et voici qu'un calme nouveau apparaît dans mon cœur..." Je me passerais bien de cette pensée-là. "Et voici que je suis un peu fatigué, cela gêne ma méditation." Encore un autre type de pensée !


    Considérez la pensée comme une certaine manière de prendre conscience des phénomènes. La libération (état de conscience suprême), en fait, n'est pas incompatible avec les phénomènes. Vous pourriez être parfaitement, totalement libres même s'il y a encore des sensations de malaise, même s'il y a encore une pensée qui passe, même s'il y a encore tout ce qui vous fait dire que vous n'êtes pas libérés. C'est encore une pensée de constater: "Ah, ça y est, ce n'est pas pour aujourd'hui ; ça y est, je ne me sens pas bien - donc c'est contraire à la libération ! Ces pensées-là ne devraient pas venir si j'étais dans l'état suprême." C'est cela qui vous empêche d'être libérés : de penser que ces pensées ne devraient pas venir, de penser que ces sensations ne devraient pas venir, de penser que ces émotions ne devraient pas venir, de penser quoi que ce soit au sujet de la libération. Si vous pouviez vous abstenir du moindre commentaire, si vous pouviez ne plus faire de différence entre libération et non-libération, vous seriez à l'instant même libérés. Et si cette différence ne revenait jamais plus, eh bien cette libération ne serait plus jamais voilée ou recouverte.

    Considérez la libération comme un état - ou plutôt une absence d'état, ou un état au-delà de tous les états - qui est ou n'est pas recouvert. C'est tout. Comme le ciel bleu. Aujourd'hui nous ne voyons pas le ciel bleu, les ombres ne sont pas marquées, le soleil est entièrement caché par les nuages, pourtant nous savons bien que, derrière les nuages, le ciel bleu est là. Les nuages s'écartent un instant, nous voyons le ciel ; les nuages reviennent, nous ne le voyons plus. Mais le ciel bleu est toujours là. Ce qu'on appelle communément un "état de conscience supérieur" ou même un des différents états de "samadhi" reconnus et classés par l'Inde, c'est un moment où les nuages se sont un peu dissipés et où nous avons découvert un peu de ciel bleu - et puis les nuages reviennent et le ciel bleu disparaît. Ou bien les nuages reviennent mais le ciel bleu ne disparaît plus, parce que nous sommes situés à dix mille mètres d'altitude, c'est-à-dire que les nuages sont en dessous de nous, et non plus entre nous et le ciel bleu. Voilà la libération : être situé du côté du ciel et regarder passer les nuages qui ne vous voilent plus ni le ciel, ni la lumière du soleil. Et ces nuages, ce sont uniquement des pensées. Les souffrances sont des pensées, c'est-à-dire des formes de votre conscience. Revenez toujours à ceci. Ces nuages, ce sont uniquement des pensées.


    Vous n'êtes prisonniers de rien d'autre que de vos pensées. Vous n'avez à vous libérer de rien d'autre que de vos pensées. Voilà la vérité. Et vous n'avez pas d'autre problème que celui de vos pensées. Vous n'avez aucun problème, ni avec votre santé, ni avec votre métier, ni avec votre patron, ni avec vos enfants, ni avec votre femme, ni avec votre voisin, ni avec votre propriétaire, ni avec le maire de votre commune. Vous n'avez qu'un seul problème : un problème entre vous et vos pensées... »
     

    Arnaud Desjardins
     

    Note : Pour bien comprendre pourquoi ce sont uniquement vos pensées qui vous font souffrir, et de quelle façon, voir "The Work" ("Le Travail") de Byron Katie, présenté ici

     

     

     

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    "Toutes les histoires que vous vous racontez à propos de vous même, c'est de la nourriture pour l'ego. Il n'y a pas d'histoire authentique."

    Autres citations de Byron Katie ici

     

     

     

    http://thework.com/sites/thework/downloads/little_book/French_LB.pdf

     

    Vidéos sous-titrées en français

    Aimer ce qui est - Byron Katie

     

     

    Methode-contre-les-pensees-negatives

     

     

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    http://medias.psychologies.com/storage/images/moi/se-connaitre/estime-de-soi/articles-et-dossiers/a-quoi-sert-la-culpabilite/1546121-1-fre-FR/A-quoi-sert-la-culpabilite_imagePanoramique647_286.jpg

    La culpabilité, c’est cette chose qui m'assaille quand j'ai trop dormi, quand je suis triste sans savoir pourquoi, quand je reproduis une habitude néfaste que je voudrais changer. Quand je regrette une action maladroite de mon passé. Quand j’ai blessé quelqu’un et que je n’arrive pas à me pardonner. Quand j’ai été blessée par quelqu’un et je n’arrive pas à lui pardonner. Quand je n'arrive pas à changer.

    Je bloque dans mes pensées. Je culpabilise. Et je ne suis plus là. Je suis dans la pliure d’un cœur serré et derrière les barreaux de mon mental préoccupé.

    La culpabilité, c’est quand nous sommes en couple avec une personne qui ne nous montre plus d'amour mais que nous n'arrivons pas à partir. Quand une relation personnelle ou professionnelle n'est pas bonne pour nous. Quand quelque chose cloche. Alors on se sent coupable de ne pas être encore parti ou coupable de ne pas avoir envie de rester. Mais dans tous les cas - nous sommes coincés. On ne peut pas prendre la bonne décision. Mais on ne peut même pas prendre la mauvaise décision non plus, et au moins se tromper et apprendre de nos erreurs. La culpabilité nous tient. Et elle préférait passer une vie entière dans notre tête à critiquer notre vie plutôt que nous laisser cette matinée pour commencer à la changer.

    Tu n’es pas d’accord avec le traitement que te donne quelqu’un ? Dis-lui, prépare un plan d’action, parle en avec ta famille et tes amis pour leur dire que tu vas avoir besoin de soutien, reconnais que tu as peur de changer, parle à des personnes qui ont fait le même changement que tu veux faire, rappelle-toi que tu mérites amour et respect. Toujours.

    Tu n’es pas d’accord avec la façon que tu as de te traiter toi-même ou quelqu’un d’autre ? Reconnais le: je mange ou consomme trop de ceci, je suis intolérante et irrespectueuse envers cette personne, j’ai pris pour acquis tel ami ou tel client, j’ai cessé d’être un membre positif et nourrissant dans cette équipe ou dans cette structure. Mais ne prends pas un fouet juste après pour te flageller. Ne pas confondre culpabilité et responsabilité.

    Nous ne sommes pas venus sur Terre pour être parfaits et ne faire aucune erreur, nous sommes venus sur Terre pour faire plein d’erreurs et apprendre grâce à elles. L’erreur n’est pas le problème.

    Continue à grandir. Continue à faire des erreurs. Et continue à te ficher régulièrement la paix, pour les erreurs que tu as faites et les erreurs que tu feras à l'avenir. Ne reste pas coincé dans ta tête. Tu as tant à donner. Tu as tant d'amour à donner.

    La vie veut continuer à aller de l'avant avec toi. Suis la.

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    Cécile https://www.facebook.com/cecilelepalaissavant/?fref=nf

     

     

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    C'est ici

     Hannah Arendt : « Le pardon est certainement l'une des plus grande facultés humaines et peut-être la plus audacieuse des actions, dans la mesure où elle tente l'impossible – à savoir défaire ce qui a été fait – et réussit à inaugurer un nouveau commencement, là où tout semblait avoir pris fin. »

     Le yoga est un des outils pour se libérer des tensions enfouies dans le corps en en prenant déjà tout simplement conscience.

    Le stage du 16 janvier sur le pardon nous amènera à nous sentir plus présents à nous-mêmes, dans la stabilité de nos jambes, de notre bassin, de notre colonne vertébrale et plus apaisés  grâce à des respirations et postures spécifiques visant à  ouvrir l'espace du cœur pour laisser rentrer la douceur. La méditation, en étant à l'écoute de nos pensées,  nous invitera à cultiver la bienveillance envers nous-mêmes et les autres.

     

     

     

     

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