• http://blog.gaiam.com/wp-content/uploads/2010/02/VeganFoodWEB.jpg

     

    Le yoga peut représenter de nombreuses choses très différentes pour ses adeptes : sport, thérapie mentale… En tous les cas, il est sûr que le yoga détient le pouvoir de transformer la façon dont vous vivez votre journée. Et donc, si vous le pratiquez régulièrement, votre vie.

    En Amérique du Nord, on constate ceci : l’enseignement du yoga a maintenant des visées éducatives plus globales que le simple bien-être physique. La plupart des professeurs de yoga, au-delà de l’exercice physique, enseignent à leurs élèves que cela leur donnera accès à une relation plus apaisée avec leur propre mental.

    Pourtant, partout dans le monde on constate aussi que la pratique de la non-violence est encore largement ignorée par les professeurs de yoga.
    Ou, pour parler plus clair : ils la professent. Mais la pratiquent-ils vraiment ?

    http://images.elephantjournal.com/wp-content/uploads/2012/09/vegan-yoga.jpg

    Aux origines du yoga : la non-violence

    Durant un cours de yoga d’une heure, que retirent les élèves des pratiques ancestrales, philosophiques, culturelles, de cette discipline ?

    Le yoga, au départ, est l’une des écoles de la philosophie indienne āstika.

    La première discipline du yoga est la non-violence universelle (« ahimsâ »). C’est donc tout naturellement que le végétarisme est une composante classique de l’exercice du yoga, car la consommation de chair animale a pour origine une violence exercée sur l’animal, blessé et tué…

    Selon le maître de hatha yoga B.K.S. Iyengar, le végétarisme est « une nécessité » dans la pratique :

    Si des animaux tués remplissent mon assiette, ma tête et mon cœur deviennent lourds de tristesse. (…) Devenir végétarien est le chemin pour vivre en harmonie avec les animaux et la planète.

    On en revient à la relation apaisée avec soi-même. Et avec l’autre.

    L’un des plus anciens textes du yoga, le Patanjali’s Yoga Sutra (daté d’environ 200 ans avant J.C), exposait déjà le contrat moral universel que s’applique à lui-même le yogi.  Et le premier principe de ce contrat, c’est bien la non-violence.

    Yoga leçon

    Paradoxe dans l’enseignement du yoga

    Malheureusement, il semblerait que bon nombres d’enseignants de yoga d’aujourd’hui choisissent d’interpréter ceci comme cela les arrange. Ils préconiseront par exemple de ne pas s’énerver au volant, de ne pas mettre son propre corps en danger en poussant trop loin les exercices difficiles… mais pas de laisser vivre les 56 milliards d’animaux de ferme tués chaque année.

    Est-ce juste, entre deux heures d’enseignement où l’on essaie d’être un guide spirituel et de servir la paix, de rompre cela en consommant un repas fait de la chair d’êtres sensibles ?

    Sur le site Ecorazzi, Eva Lampert, professeure de yoga avec plus de 500h de cours à son actif, dit se référer souvent à un mantra en particulier : “lokah samastah sukhino bhavantu”. Un mantra qui dit à peu près ceci :

    Puissent tous les êtres vivants être partout heureux et libres, et puissent mes pensées et mes actions contribuer à la liberté de tous.

    Lokah

    Eva rappelle qu’il est impossible de se consacrer vraiment au yoga si l’on continue à participer à un système de cruauté envers les animaux, qui prive tant d’êtres vivants de bonheur et de liberté.

    Comme Eva, on peut choisir de penser que les gens ont en eux de l’amour et de la compassion. Même si cela est souvent difficile à croire. On peut en tout cas en faire le pari, et espérer que les enseignants et pratiquants du yoga vont réfléchir sérieusement à ce que cela signifie de pratiquer la non-violence lorsque le cours est terminé.

    Repas vegan, par le professeur de yoga Belén Vazquez Amaro (Stockholm)

    Source

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • http://centreespaceconscience.com/wp-content/uploads/2014/08/Orange-.png

    Par rapport au temps passé autour de la nourriture, nous prenons assez peu conscience de la manière dont nous la consommons.

    L'alimentation est le sujet qui revient le plus souvent dans notre vie.  Les repas sont d'abord pensés (liste de courses), il faut ensuite aller au marché ou au magasin pour se réapprovisionner 1 ou 3 fois par semaine (faire le trajet + le temps des courses) ranger les courses, préparer les repas, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine, aller aux toilettes, dormir si la digestion est difficile...

    Prenant en moyenne 2 à 4 repas par jour, sans compter les grignotages, on réalise que la nourriture prend une grande proportion de notre temps. A savoir aussi qu'on va travailler pour se nourrir!

    Mais pourquoi et comment se nourrit-on?

    Depuis que je me promène sur internet, j'ai pu voir tous les régimes, tous les arguments sur ce qui étaient bons ou néfastes pour la santé. Entre la peur et l'espoir, le sujet est illimité... sachant que les deux font marcher le commerce!

    Si je vous parlais de mon expérience, je vous dirais à peu près la même chose que ce qui est écrit sous cette vidéo. En enlevant tous les aliments qui acidifient et encrassent l'organisme (source des maladies) on a déjà fait un grand pas. En rajoutant un maximum d'aliments crus, on se recharge en minéraux qui alcalinisent. Finalement c'est très simple.

    Un point qui est oublié c'est la conscience de ce que nous mangeons et comment nous le mangeons.

    Si nous mangions davantage en conscience, certainement que nous mangerions moins et mieux. Cela serait bénéfique pour soi et pour  l'environnement.

    La conscience, c'est d'abord prendre conscience de ses besoins. Faisons-nous nos achats en fonction de nos besoins essentiels ou achetons-nous des produits par habitude (tradition familiale), par influence (publicité, ce qu'en disent les professionnels de la santé),  par pulsion,....? 

    Est-ce que l'aspect de cette nourriture nous plaît? (Pour cela, les fabricants sont très forts!) Sommes-nous au courant de tous les ingrédients qui sont mélangés dans les produits transformés? Savons-nous d’où provient cette nourriture, par qui elle a été fabriquée? Avons-nous la notion d'éthique? (exploitation et souffrances humaines et animales)

    Comment sentons-nous cet aliment dans la bouche? Saveur, texture, température,... Combien de fois mâchons-nous? Lorsque nous sommes à table, est-ce en silence ou avec la TV? Comment les aliments arrivent dans l'estomac: mixés ou en morceaux?

    Manger en conscience c'est sentir le plaisir ou le déplaisir mais également sentir les effets que cette nourriture a sur notre organisme. Être attentif à ses sensations à la fin d'un repas, c'est déjà se rapprocher de ce qui bon physiologiquement pour l'organisme. Plus on va être attentif, et mieux on saura déceler ce qui est bon ou non pour le corps. Logiquement, à la fin d'un repas on doit être plein d'énergie pour repartir à ses activités et non somnolent comme il semble que ce soit le cas pour la plupart des gens. Pourquoi a t-on besoin de prendre un café pour se stimuler? Il nous suffit aussi de vérifier comment les aliments influencent notre humeur. Nos intestins pour les chercheurs sont notre 2ème (voire 1er) cerveau.

    Il est souvent question de la viande. Certains vont vous dire que ce n'est pas nécessaire (en effet des sportifs de haut niveau sont végétariens ou végétaliens, voire crudivores), d'autres vont rétorquer que c'est indispensable avec des arguments les plus divers.
    Mais à nous? Ça nous fait quoi? Sommes-nous conscients que la tranche bien découpée chauffant dans la poêle est un morceau d'animal mort? Sommes-nous conscients de tout ce que l'animal a traversé avant d'arriver dans notre assiette? Malheureusement nous ne sommes plus (ou tellement si peu) au temps où le petit cochon vivait à la ferme, où le paysan  menait sa vache au pré ou à la poule qui grattait sur le tas de fumier.
    Ce que vivent les animaux aujourd'hui, c'est cela.
    Manger de la viande est pour la plupart une habitude, une histoire de goût ou la croyance de manquer de protéines.  Néanmoins, si nous n'arrivons pas à nous en passer, il est quand même intéressant de se poser la question de quelle viande il s'agit. D'où vient cette viande en barquette des supermarchés? Oui, la viande bio est très chère mais occasionnellement  c'est possible.
     Le débat est le même pour les œufs et les produits laitiers. J'ai commencé à avoir des sinusites vers l'âge de 12 ans, dès que le lait de ferme cru a été remplacé par du lait UHT
    En regardant cette vidéo récapitulative vous aurez une petite idée de comment les choses se passent maintenant.
    Inutile de parler des pesticides, nous entendons assez souvent parler des dégâts qu'ils propagent sur la planète et dans les corps.
     
    Il n'est pas toujours évident de relier les maladies à leurs causes mais si déjà nous sommes pleinement conscient de nos réels besoins, si nous prenons le temps de sentir, de ressentir, de nous interroger, il me semble qu'une bonne partie des maladies diminueraient et que le monde humain, animal et végétal ne pourraient que s'en porter mieux.
     
     
    Si se nourrir d'aliments est un des facteurs pour rester en vie (bien que le corps puisse vivre sans aliments pendant un mois et +) nos journées peuvent être également nourries d'air, de lumière, de sons, de relations, de lectures, de passions....de yoga!. Plus nous serons nourris par ces multiples éléments, moins nous serons focalisés sur les aliments qui, au fond, sont bien souvent des manques à combler.
     
     La Vie est toujours et déjà là, en nous et tout autour. Il suffit de la sentir, la contempler et de s'en nourrir à chaque instant.
     
    Marie-Eve mars 2015
     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  • La nourriture est une base importante pour l'élévation humaine. Plus l'homme s'élève et plus il a besoin de nourriture vivante.
    Alléger sa nourriture et la rendre vivante, nourrit le corps de lumière et toutes les défenses immunitaires.
    Petit à petit, en supprimant la nourriture morte (chair animale, cuisson trop élevée, tout ce qui est raffiné et blanchit...), le cerveau reptilien n'est plus alimenté et de ce fait, se libèrent les peurs, les colères, l'avidité, l'orgueil, la culpabilité, la cruauté...
    La vie peut alors reprendre pleinement sa place.
    La respiration solaire, la bénédiction pour l'élévation vibratoire, les boissons énergétiques dynamisées à la lumière, les fruits et légumes bios cru, les graines germées...
    Tout ce qui nourrit réellement devient source de joie et de plénitude.
    Cela demande un réel investissement au quotidien et peut prendre du temps, mais quel cadeau à la fin.
    Hauts les cœurs, courage et foi !

    Joéliah Channel

    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  •  

    L'alimentation est le sujet qui revient le plus souvent dans notre vie.  Les repas sont d'abord pensés (liste de courses), il faut ensuite aller au marché ou au magasin pour se réapprovisionner 1 ou 3 fois par semaine (faire le trajet + le temps des courses) ranger les courses, préparer les repas, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine, aller aux toilettes, dormir si la digestion est difficile...

    Prenant en moyenne 2 à 4 repas par jour, sans compter les grignotages, on réalise que la nourriture prend une grande proportion de notre temps. A savoir aussi qu'on va travailler pour se nourrir!

    Mais pourquoi et comment se nourrit-on?

    Depuis que je me promène sur internet, j'ai pu voir tous les régimes, tous les arguments sur ce qui étaient bons ou néfastes pour la santé. Entre la peur et l'espoir, le sujet est illimité... sachant que les deux font marcher le commerce!

    La vidéo ci-dessous fait partie du grand nombre de "mangez ci, mangez ça,..."

    Si je vous parlais de mon expérience, je vous dirais à peu près la même chose que ce qui est écrit sous cette vidéo. En enlevant tous les aliments qui acidifient et encrassent l'organisme (source des maladies) on a déjà fait un grand pas. En rajoutant un maximum d'aliments crus, on se recharge en minéraux qui alcalinisent. Finalement c'est très simple.

    Le point qui me semble important est qui est toujours "oublié" c'est la conscience de ce que nous mangeons.

    http://centreespaceconscience.com/wp-content/uploads/2014/08/Orange-.png

    Si nous mangions davantage en conscience, certainement que nous mangerions moins et mieux. Cela serait bénéfique pour soi et pour  l'environnement.

    La conscience, c'est d'abord prendre conscience de ses besoins. Faisons-nous nos achats en fonction de nos besoins essentiels ou achetons-nous des produits par habitude (tradition familiale), par influence (publicité, ce qu'en disent les professionnels de la santé),  par impulsion,....? 

    Est-ce que l'aspect de cette nourriture nous plaît? (Pour cela, les fabricants sont très forts!) Sommes-nous au courant de tous les ingrédients qui sont mélangés dans les produits transformés? Savons-nous d’où provient cette nourriture, par qui elle a été fabriquée? Avons-nous la notion d'éthique? (exploitation et souffrances humaines et animales)

    Comment sentons-nous cet aliment dans la bouche? Saveur, texture, température,... Combien de fois mâchons-nous? Lorsque nous sommes à table, est-ce en silence ou avec la TV? Comment les aliments arrivent dans l'estomac: mixés ou en morceaux?

    Manger en conscience c'est sentir le plaisir ou le déplaisir mais également sentir les effets que cette nourriture a sur notre organisme. En étant attentif à ses sensations à la fin d'un repas, est-ce que ce ne serait déjà pas énorme quand au choix des aliments? A savoir qu'à la fin d'un repas on doit être plein d'énergie pour repartir à ses activités et non somnolent comme il semble que ce soit le cas pour la plupart des gens. Pourquoi a t-on besoin de prendre un café pour se stimuler? Il nous suffit aussi de vérifier comment les aliments influencent notre humeur. Nos intestins pour certains chercheurs sont notre 2ème (voire 1er) cerveau.

    Il est souvent question de la viande. Certains vont vous dire que ce n'est pas nécessaire (en effet des sportifs de haut niveau sont végétariens ou végétaliens, voire crudivores), d'autres vont rétorquer que c'est indispensable avec des arguments les plus divers.
    Mais à nous? Ça nous fait quoi? Sommes-nous conscients que la tranche bien découpée chauffant dans la poêle est un morceau d'animal mort? Sommes-nous conscients de tout ce que l'animal a traversé avant d'arriver dans notre assiette? Malheureusement nous ne sommes plus (ou tellement si peu) au temps où le petit cochon vivait à la ferme, où le paysan  menait sa vache au pré ou à la poule qui grattait sur le tas de fumier.
    Ce que vivent les animaux aujourd'hui, c'est cela.
    Manger de la viande est pour la plupart une habitude, une histoire de goût ou la croyance de manquer de protéines. Admettons que l'on ne puisse pas s'en passer, il est quand même intéressant de se poser la question de quelle viande il s'agit. D'où vient cette viande en barquette des supermarchés? Oui, la viande bio est très chère mais occasionnellement  c'est possible.
     Le débat est le même pour les œufs et les produits laitiers. J'ai commencé à avoir des sinusites vers l'âge de 12 ans, dès que le lait de ferme cru a été remplacé par du lait UHT
    En regardant cette vidéo récapitulative vous aurez une petite idée de comment les chose se passent maintenant.
    Inutile de parler des pesticides, j'imagine que vous savez déjà les dégâts qu'ils propagent sur la planète et dans les corps.
     
    Il n'est pas toujours évident de relier les maladies à leurs causes mais si déjà nous sommes pleinement conscient de nos réels besoins, que nous prenons le temps de sentir, de ressentir, de nous interroger, il me semble qu'une bonne partie des maladies diminueraient et que le monde humain, animal et végétal ne pourraient que s'en porter mieux.
     
    Si se nourrir d'aliments est un des facteurs pour rester en vie (bien que le corps puisse vivre sans aliments pendant un mois et +) nos journées peuvent être également nourries d'air, de lumière, de sons, de relations, de lectures, de passions....de yoga!. Plus nous serons nourris par ces multiples éléments, moins nous serons focalisés sur les aliments qui, au fond, sont bien souvent des manques à combler.
     
     La Vie est toujours et déjà là, dans notre corps et tout autour. Il suffit de la contempler et de s'en nourrir à chaque instant.
     
    Marie-Eve

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  • Tout doucement les consciences s'ouvrent. Nous sommes de plus en plus nombreux à dire non à la torture en boite. Un tiers des français aujourd'hui refuse d'acheter du foie gras, la moitié sont favorables à une interdiction du gavage.

    Mon petit mot: alors que Noël est sensé célébrer la vie, nous retrouvons sur nos tables beaucoup de cadavres d'animaux dont nous n'avons pas conscience (ou bien nous préférons fermer les yeux) de ce qu'ils ont vécu depuis leur conception avant d'arriver dans nos assiettes.

    Ce matin, j'entendais à la radio les méthodes pour se soulager de nos abus alimentaires en cette fin d'année. Nous sommes malades de trop consommer alors que tant n'ont rien.

    Ce n'est être ni moraliste, ni rabat-joie que de remplir nos assiettes d'alimentation saine, vivante et de toutes les couleurs.

    Message de Matthieu Ricard pour les fêtes de fin d'année
    Message de Matthieu Ricard pour les fêtes de fin d'annéeMessage de Matthieu Ricard pour les fêtes de fin d'année
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique